On a tué le caporal Oscar
Je ne suis pas un tueur comme les autres. Aujourd’hui, j’ai pas mal couru avec mon cuir sur le dos, la casquette vissée au sommet, puis je me suis arrêté à quelques encablures de l’objet. J’ai piqué un second sprint en voyant le limier à l’angle. Il est méfiant le loustic. Saleté de bestiole ! »
Lorsque le héros de ce roman assassine son chat Oscar, il ne sait pas qu’il s’engage dans une fuite en avant à la fois criminelle et loufoque. Un texte puissant à l’écriture ciselée, une farce tragi-comique sur notre monde moderne.